Les médecines complémentaires, une option dans l'assurance de base

(Dépêche ATS de Berne, du 11.11.2024)

https://www.parlament.ch/fr/services/news/Pages/2024/20240911184138435194158159026_bsf160.aspx?fbclid=IwY2xjawFXkPBleHRuA2FlbQIxMQABHZGKQGvvjhKieOpzSt3BS6y8tvWyofZzLumZYZ_ddNDt81NNk1kaIjPuSg_aem_FnUs9NgQrx_msvZmixgqtw

Il est difficile de chiffrer les économies que pourraient faire les assurances maladies en prenant en charge dans leur base les prestation des médecines alternatives.

De plus, le grand débat de l'efficacité de ces techniques est toujours d'actualité. J'ai envie de dire et combien même cela ne serait que placebo, si la personne se porte mieux où est le problème ?

Nous sommes loin de facturer nos prestations au prix d'un médecin généraliste et encore moins d'un médecin spécialiste. En outre, nous ne sommes pas là pour fidéliser la patientèle mais bel et bien pour faire de la prévention et autonomiser celle-ci.

Alors à ceux qui payent ces prestations alternatives sans y croire en pensant trop payer, demandez vous si vous n'auriez pas tout à y gagner si la population était moins malade et avait moins recours à des méthodes de guérison longues et coûteuses. Ci-après quelques recherches glanées sur le web :

Les médecines alternatives, comme l’acupuncture et l’homéopathie, peuvent aider à réduire les coûts de la santé en Suisse.

Une étude a montré que les patients utilisant des médecines complémentaires, comme l’acupuncture et l’homéopathie, avaient des coûts de traitement inférieurs de 15% par rapport à ceux utilisant uniquement des traitements conventionnels1.

1. Les médecines alternatives peuvent contribuer à une meilleure prévention des maladies, ce qui réduit le nombre d’hospitalisations et les coûts associés. Par exemple, l’acupuncture a été associée à une réduction des admissions à l’hôpital pour des douleurs chroniques2.

   
   

2. Les patients utilisant des médecines complémentaires rapportent souvent une plus grande satisfaction et une réduction du nombre de consultations médicales, ce qui peut également réduire les coûts globaux pour les assurances1.

   
   

3. Une étude menée par l’Université de Zurich a révélé que les patients utilisant des médecines complémentaires avaient une réduction de 7% des coûts de santé globaux par rapport à ceux utilisant uniquement des traitements conventionnels2.

   
   

Ces références montrent que les médecines alternatives peuvent effectivement contribuer à des économies pour les assurances maladies en Suisse, en réduisant les coûts de traitement, les hospitalisations et le nombre de consultations médicales.